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novembre, 2014

 
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«À Damas, on s’habitue à vivre avec l’incertitude de la guerre»

Damas, l’une des plus ancienne ville du Sham, est le théâtre quotidien d’échanges de tirs entre les rebelles et l’armée du régime de Bachar el-Assad. Les vagues d’oiseaux qui ornaient habituellement le ciel de la capitale syrienne font aujourd’hui place à des colonnes de fumée. Malgré cette tragédie, la ville reste vivante avec ses rues bondées de monde et saturées par la circulation. Voix d’Exils a réussi à entrer en contact avec quelques damasquins qui témoignent de leur quotidien dans cette ville meurtrie par presque quatre années de conflit.


Mords la pomme…

Mords la pomme, Ne la mords pas si tu ne veux pas, Arrose seulement un peu l’arbre dans lequel tu prends des pommes, Ne l’abats pas à coups de hache.


Le ministre bernois Hans Jürg Käser réitère ses excuses pour avoir qualifié les requérants d’asile de «petits nègres»

Qualifiant a plusieurs reprises de «petits nègres» les requérants d’asile lors d’une présentation du centre pour demandeurs d’asile de centre de Berthoud (BE), le 11 septembre dernier, les propos du ministre bernois de la police et des affaires militaires avaient provoqué un tollé. Ce dernier a réitéré ses excuses auprès du Forum pour l’Intégration des Migrantes et des Migrants (FIMM) et du Conseil de la Diaspora Africaine en Suisse lors d’une rencontre qui s’est déroulée le 4 novembre dernier.


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