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FLASH INFOS #141

Sous la loupe : Appel à une mobilisation pour défendre la dignité des migrants / Le gouvernement britannique veut encore durcir la législation sur l’immigration / La Suisse en fait-elle assez pour l’intégration des jeunes étrangers ?

 

Appel à une mobilisation pour défendre la dignité des migrants

L’observateur, le 07 mars 2023

 

Le gouvernement britannique veut encore durcir la législation sur l’immigration illégale

Le Temps, le 06 mars 2023

 

La Suisse en fait-elle assez pour l’intégrait des jeunes étrangers ?

Blick, le 08 janvier 2023




Mieux vivre ensemble

Fresque a l’entrée de la nouvelle place de sports du Quartier de la Planchette à Aigle / Photo: Renata Cabrales / Voix d’Exils

Vaud: Aigle a inauguré le 21 mai la nouvelle Place des sports de la Planchette



En collaboration avec l’Association Jeunesse Aiglonne (AJA), l’Espace Amis, les Parrains et Marraines de la Planchette, les travailleurs sociaux, la Police du Chablais vaudois et l’Établissement Vaudois d’Accueil des Migrants (EVAM), la Municipalité de la ville d’Aigle a présenté la nouvelle infrastructure sportive du quartier aiglon de la Planchette. Le rôle principal de ces organismes sociaux et institutionnels consiste à pacifier le quartier, valoriser la diversité et améliorer le vivre ensemble au sein du quartier.

La nouvelle Place des sports de la Planchette est un lieu dédié à l’animation de la vie du quartier pour améliorer le vivre ensemble et favoriser les échanges interculturels entre les habitantes et habitants du quartier. Ainsi, le quartier de la Planchette est un lieu métissé. Cela signifie que l’on peut retrouver une grande richesse multiculturelle dans ce quartier. Tous les projets sont réalisés dans le respect de la diversité culturelle.

La journée s’est déroulée avec succès avec les membres de la communauté intéressés à connaître ce beau projet. Voix d’Exils est allé à la rencontre de personnes qui ont œuvré à la réalisation de cette nouvelle Place des sports de la Planchette.

Le Sergent-major Domenico Chinelli (à droite) et son équipe / Photo: Renata Cabrales / Voix d’Exils

Entretien avec Domenico Chinelli, coordinateur du projet Parrains et Marraines à Aigle

Renata de Voix d’Exils: Quel est votre rôle dans le projet?

Domenico Chinelli : En tant que coordinateur, je suis chargé de la programmation et de l’organisation du travail des Parrains et Marraines. Je coordonne les horaires de travail de chacun·e et je planifie les départs de la Planchette, ce qui facilite leur travail au quotidien.

Et comment percevez-vous la participation multiculturelle ?

Il est vrai que beaucoup de nations sont représentées dans le quartier. Et je pense que cela est une bonne chose, il faut le prendre comme une richesse et cela nous apporte beaucoup de choses positives, notamment dans le dialogue et les discussions avec les habitant.e.s que l’on rencontre.

Quel message souhaiteriez-vous faire passer à travers ce projet ?

Au niveau du projet de parrainage du quartier de la Planchette, le message que l’on aimerait faire passer est qu’au-delà de nos différences et des nuisances qui peuvent être perçues par le voisinage, nous arrivons à trouver des solutions par notre simple présence. Ce qui est en quelque sorte le but de ce projet, qui correspond au projet de parrainage que l’on retrouve à la gare typiquement. Il y a des personnes qui travaillent toujours de paire et qui vont discuter avec les utilisateurs-trices du terrain de sport pour les rendre par exemple attentifs au respect des horaires d’ouverture de la place et aux éventuelles nuisances qu’ils peuvent engendrer comme les nuisances sonores etc. Tout cela dans le but que tout le monde y trouve son compte et pour diminuer les tensions que l’on peut parfois retrouver dans le voisinage.

Et finalement, quels sont les futurs projets avec la communauté à partir de ce grand projet ?

Les échos qu’on a reçu aujourd’hui sont positifs. Et pour les projets futurs, j’espère que la municipalité, encouragée par cette action dans les Planchettes ainsi qu’à la gare, sera encouragée à reproduire cela dans d’autres quartiers d’Aigle afin de favoriser son développement.

Photo: Renata Cabrales / Voix d’Exils

Entretien avec Jean-Jacques Homberger, travailleur social hors mur région Aigle, Bex et Ollon

Renata de Voix d’Exils : Quel est votre rôle au sein de ce projet ?

Jean-Jacques Homberger : Je suis en charge de la prévention sociale auprès des adolescent.e.s de 12 à 25 ans pour l’ensemble des communes d’Aigle, Ollon et Bex.

Quel message souhaiteriez-vous faire passer à travers ce projet ?

Je trouve que c’est toujours bien quand on met à disposition des lieux de loisirs, de culture et autres pour les jeunes. Même si l’emplacement reste ouvert à tout le monde, je dirais quand même que les jeunes ont un lieu à eux maintenant et c’est une bonne chose.

Que pensez-vous de la participation multiculturelle ?

Elle est très importante. Ces lieux sont très utilisés par les familles issues de la migration et qui représentent un grand nombre de cultures différentes. En effet, le quartier de la Planchettes c’est plus de 100 nationalités différentes, donc c’est un quartier non seulement populaire, mais aussi métissé et donc multiculturel, ce qui est une très bonne chose à mon avis.

Et finalement pour vous, qu’est-ce qui est essentiel avec ce projet ?

Pour la communauté, ce qui est important de dire c’est qu’il y a aussi des personnes migrantes qui font partie des Marraines et Parrains et pour ce projet nous essayons justement d’associer les familles migrantes qui sont les bienvenues. Et je me répète peut-être mais on pense souvent que c’est un terrain réservé aux jeunes alors qu’il est ouvert à tout le monde.

Françoise Piron, directrice de la Fondation Pacte / Photo: Renata Cabrales / Voix d’Exils

Entretien avec Joëlle Saugy, coordinatrice de l’Association AMIS

Fabrice Cottier, Municipal de la ville d’Aigle en charge des bâtiments, du sport et de la construction / Photo: Renata Cabrales / Voix d’Exils

Propos recueillis par:

Renata Cabrales

Membre de la rédaction vaudoise de Voix d’Exils




FLASH INFOS #109

Illustration: Kristine Kostava

Sous la loupe: Les agissements des garde-côtes grecs questionnent / Le président de Frontex démissionne à la suite de plusieurs allégations / Plus de 10’000 exilé·e·s mineur·e·s sans services de protection

Les agissements des garde-côtes grecs questionnent

InfoMigrants, le 11.05.2022

Les garde-côtes grecs ont annoncé dimanche 8 mai le sauvetage d’une embarcation de 106 exilé·e·s en mer Égée, au large de l’île de Kos. Quelques 20 enfants et 14 femmes se trouvaient à bord mais aucune victime n’a été déplorée par les autorités.

Malgré cela, le comportement des garde-côtes grecs est souvent pointé du doigt et vivement critiqué par plusieurs ONG et médias européens. L’ONG Aegean Boat Report a recensé 629 cas de refoulements illégaux en mer Égée en 2021. Diverses situations et exemples ont d’ailleurs été relayés, à l’image d’une vidéo devenue virale qui montre la marine grecque tentant de faire chavirer une embarcation d’exilé·e·s. Les garde-côtes grecs sont par ailleurs été accusés d’avoir battu puis jeté à la mer trois migrants, sans canot ni gilet de sauvetage, en septembre dernier.

De son côté, la Grèce a toujours fermement rejeté toutes ces incriminations.

Karthik Neelamagen

Membre de la rédaction vaudoise de Voix d’Exils

Le président de Frontex démissionne à la suite de plusieurs allégations

RTS, le 29.04.2022

Fabrice Leggeri, président de Frontex, l’Agence européenne des garde-côtes et garde-frontières, a démissionné le jeudi 28 avril dernier. Sujet de plusieurs accusations de la part d’ONG ces dernières années, il a notamment été visé par une enquête de l’Office européen de lutte antifraude. La pression exercée par ces organisations a rendu sa démission pratiquement inévitable.

Lui sont reprochés, entre autres, de n’avoir pas respecté les procédures; le rapatriement de personnes migrantes, de la déloyauté envers l’Union européenne (UE) et une mauvaise gestion du personnel.

Zahra Ahmadiyan

Membre de la rédaction vaudoise de Voix d’Exils

Plus de 10’000 exilé·e·s mineur·e·s sans services de protection en Italie

InfoMigrants, le 06.05.2022

Un rapport du Haut-commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) s’inquiète de l’absence de programmes et de services de protection des jeunes exilé·e·s de moins de 18 ans en Italie.

Parmi les 13’023 personnes migrantes de moins de 18 ans qui sont arrivées en 2021 sur les côtes de l’Italie par la mer, 10’053 étaient des mineurs non accompagnés. Ces statistiques ont été présentées par le HCR, dans un rapport sur les routes migratoires de la Méditerranée et de l’Atlantique datant du mois d’avril.

Selon le HCR, ces traversées sont favorisées par le manque ou l’absence de programmes et de services de protection pour ces jeunes le long des routes migratoires qu’ils empruntent. Pour le HCR, des services de protection sont nécessaires de toute urgence pour répondre aux besoins de cette population vulnérable.

Il est à noter que les arrivées en Italie, par voie maritime, ont augmenté en 2021. Cette augmentation ne concerne pas seulement les mineurs, mais également de nombreuses personnes de tous âges, 19% d’entre eux étant des mineurs non accompagnés.

Renata Cabrales

Membre de la rédaction vaudoise de Voix d’Exils




Revue de presse #23

La revue de presse, la nouvelle rubrique de Voix d’Exils. Auteur: Damon / Voix d’Exils.

Sous la loupe : jeunes de France et d’Afrique mobilisés contre le Covid-19 / En Tunisie, l’égalité est un vœu pieux / Le Canada régularise 1000 migrants « anges gardiens »

Des jeunes se mobilisent contre le Covid-19 à travers le monde

Jeuneafrique.com, le 12.08.2020

Des jeunes bénévoles de ONE, l’ONG dirigée par l’ancienne ministre française Najat Vallaud-Belkacem, luttent contre l’extrême pauvreté et les maladies évitables, particulièrement en Afrique.

Originaires du Sénégal, de Gambie, de Tunisie et de France, ils se sont également mobilisés pour contribuer à la lutte contre la pandémie de Covid-19. Au Sénégal, par exemple, ils ont réalisé des campagnes de sensibilisation sur les gestes à adopter et ont aussi distribué des masques, du gel antiseptique ainsi que de l’eau de javel gratuitement dans les quartiers et les lieux publics.

En France et en Tunisie, la mobilisation des jeunes s’est traduite par de multiples actions : des étudiants ont réfléchi à des innovations techniques dans le secteur médico-social, d’autres ont fait des dons aux organisations caritatives, d’autres encore ont fait les courses pour les aînés.

Des Sénégalais, aux études en Chine, ont été parmi les premiers à alerter sur la gravité de la maladie. Leur plaidoyer pour la fermeture des frontières sénégalaises ont été diffusés sur internet, avant même que cela ne devienne un débat national. Dans un pays où l’âge médian de la population est de 18 ans, cette mobilisation a démontré, selon eux, le pouvoir catalyseur des réseaux sociaux et de l’engagement en ligne. « Notre génération dispose d’un outil puissant pour influencer les décisions, et nous l’avons bien compris », soulignent–ils.

Alors que la deuxième vague de coronavirus se profile, les militants de ONE demandent aux États de soutenir les jeunes dans leurs engagements et de les inclure dans leurs prises de décisions, en particulier en période de crise.

L’égalité des sexes a du plomb dans l’aile en Tunisie

Jeuneafrique.com, le 13.08.2020

Tous les 13 août depuis 1956, jour de l’indépendance tunisienne, le temps se fige dans le pays. Parmi les premières décisions prises par Habib Bourguiba, président de la Tunisie libérée, la promulgation du Code du statut personnel (CSP) est encore dans tous les esprits. Il s’agissait d’une première dans le monde arabe, qui faisait accéder les Tunisiennes à des droits et devoirs plus étendus.

Mais, dans les faits, les féministes observent que les textes de lois ne suffisent pas à changer les mentalités. Elles regrettent que l’égalité légalement accordés aux Tunisiennes soit un vœu pieux que personne ne songe à faire appliquer. Malgré une émancipation de façade, beaucoup de femmes préfèrent rester sous la tutelle d’un chef de famille et sont nombreuses à continuer d’élever leurs fils comme des enfants rois.

64 ans après la libération de la Tunisie, les mêmes tiraillements empêchent l’évolution des femmes dans une société qui veut une chose et son contraire : la modernité, la liberté et l’émancipation mais aussi le respect et l’application du conservatisme le plus rétrograde.

Un millier d’« anges gardiens » régularisés au Canada

voaafrique.com, le 14.08.2020

En mai dernier, le Premier ministre canadien Justin Trudeau avait salué le « travail héroïque » des demandeurs d’asile actifs en pleine pandémie dans les milieux de la santé. Il avait promis de réfléchir à un programme de régularisation. Le chef du gouvernement québécois François Legault, les avait même qualifiés d’ « anges gardiens ». Finalement, c’est le ministre de l’immigration qui vient d’annoncer la régularisation prochaine des migrants concernés pour les remercier d’avoir aidé à soigner des malades du Coronavirus.

Cette mesure concernera seulement les infirmiers et les aides-soignants ayant travaillé dans des établissements de santé, des maisons de retraite ou à domicile. Ils pourront demander la résidence permanente pour eux-mêmes et leur famille à condition d’avoir déposé leur demande avant mars 2020, et cela même si leur demande d’asile a été rejetée.

A l’échelle du Canada, cette mesure de régularisation devrait concerner un millier de personnes au maximum.

Oumalkaire / Voix d’Exils




Revue de presse #10

La revue de presse, la nouvelle rubrique de Voix d’Exils. Auteur; Damon / Voix d’Exils

Sous la loupe : Aider les plus vulnérables / L’Afrique peu touchée par le Covid-19 / Soutenir l’éducation des jeunes migrants

Le Covid-19 accentue les inégalités

Centre catholique des médias Cath-Info, 24.04.2020

La communauté Sant’Egidio de Lausanne a lancé de nombreuses initiatives pour venir en aide aux personnes les plus durement touchées par la pandémie, parmi lesquelles, les personnes âgées, les handicapés, les migrants et les requérants d’asile déboutés. Pour marquer son soutien à ces derniers, la présidente de la communauté s’est rendue au foyer de Vennes de l’Établissement vaudois d’accueil des migrants (EVAM) au début du ramadan. Elle y a distribué des paquets contenant du lait, des dattes et des jus de fruit. Cette initiative a été tout particulièrement appréciée par les nombreux musulmans qui vivent dans le foyer.

Sant’Egidio aide également depuis des années de nombreuses familles Roms originaires de Roumanie. Depuis l’interdiction de la mendicité dans le canton de Vaud à fin 2018, la situation des Roms s’est détériorée, surtout pour les familles avec de jeunes enfants. Séjournant en Suisse sans permis de séjour, les Roms réussissaient tant bien que mal à trouver du travail, notamment sur appel. Mais en ces temps de pandémie il n’y a plus de rien à faire. Et plus d’argent à gagner. C’est pourquoi, depuis le début du confinement, Sant’Egidio a distribué à la population Rom des bons Migros ou Coop et fourni des ordinateurs aux enfants pour qu’ils puissent rester connectés avec leurs enseignants.

«Nous n’abandonnons personne», tel est le leitmotiv de cette communauté qui fait vivre la solidarité et invite toute personne intéressée à faire partie de son réseau. (voir: info@santegidio.ch ou 079 627 36 56)

 

Contre toute attente, l’Afrique résiste au coronavirus

Jeune Afrique, 03.05.2020

La catastrophe sanitaire annoncée n’a pas eu lieu sur le continent africain. Contre toute attente, le Covid-19 y progresse plus lentement qu’en Asie, en Europe et aux Amériques. L’Afrique, qui représente 17 % de la population du globe, n’héberge en effet que 1,1 % des malades et compte 0,7 % des morts. Mieux : avec plus de 12 000 guérisons, elle résiste étonnamment bien aux assauts de la pandémie. Face à ce mystère non encore résolu, les scientifiques s’interrogent : est-ce dû au fait que la maladie est arrivée plus tard sur le continent ? Et en ce cas, faut-il s’attendre à un pic en septembre ? Ou alors, serait-ce le climat chaud qui fait barrage ? Et c’était un effet de la jeunesse de la population africaine ? Les médecins confirment que la majorité des cas sévères concerne des personnes de plus de 60 ans, ce qui serait une chance pour le continent, où l’âge médian est de 19,4 ans et où 60 % de la population a moins de 25 ans. Dans les pays de l’Afrique anglophone, on en a même fait un slogan : « The virus is old and cold and Africa is young and hot » (Trad. « Le virus est vieux et froid et l’Afrique est jeune et chaude »).

A noter que le trafic aérien, vecteur majeur de la propagation du virus est peu développé sur l’ensemble du continent. Ce n’est donc pas un hasard si l’Afrique du Sud, l’Égypte et l’Algérie, soit les trois pays qui ont le plus de liens avec la Chine sont également les plus touchés.

 

Accès à l’éducation et égalité des chances

cath.ch 29.04.2020

Préoccupés par le décrochage scolaire des jeunes, des syndicats et des organismes de soutien aux migrants ont adressé le 27 avril une lettre ouverte. aux autorités cantonales de Suisse.

Selon les signataires, l’organisation mise en place en cette période de pandémie pour que les enfants puissent effectuer les travaux scolaires à domicile laisse trop souvent sur la touche ceux qui ont le plus besoin de soutien, à savoir les jeunes migrants. Ceux qui ne peuvent pas être soutenus par leurs parents, ceux dont l’équipement informatique n’est pas adéquat et ceux qui ne maîtrisent pas suffisamment une langue nationale ont besoin d’un soutien supplémentaires. Faute de quoi, leurs chances de progresser dans leur scolarité et leur apprentissage sont gravement compromises.

Pour que le droit à l’apprentissage soit respecté, les signataires préconisent une série de mesures à mettre en œuvre dans le cadre de l’instruction publique :

  • Fixer les tâches et les devoirs à faire dans un langage simple et d’une manière très structurée.
  • Communiquer avec les parents de langue étrangère avec l’aide d’interprètes interculturels.
  • Traduire dans les langues les plus importantes les conseils pour l’enseignement à domicile.
  • Suivre avec une attention particulière la situation des élèves de l’école obligatoire vivant dans les centres d’asile.
  • Intervenir lorsque la protection de la santé des enfants et des jeunes dans les centres n’est pas garantie. Par exemple, en cas d’absence de mesures d’hygiène, d’impossibilité de respecter la distance physique, de manque de soins médicaux, d’espace insuffisant pour la quarantaine.
  • Veiller à ce que les jeunes migrants souffrant de traumatismes dus à leur parcours de vie reçoivent un soutien social et psychologique.
  • Veiller à ce que les inégalités existantes ne s’aggravent pas au niveau de l’enseignement secondaire et supérieur.
  • Rendre accessibles à tous les étudiants les solutions proposées pour l’enseignement à distance ou à domicile. Si nécessaire, fournir le matériel adéquat, notamment un accès à internet suffisant qu’on ne trouve pas toujours dans les centres d’asile.

Rédaction vaudoise / Voix d’Exils