1

L’Ostri

Kristin Kostava / Voix d’Exils

Un délice de la cuisine géorgienne

Kristine Kostava partage avec nous sa recette de l’Ostri, un succulent ragoût de bœuf épicé très populaire dans son pays d’origine: la Géorgie. Testé et approuvé par la rédaction Voix d’Exils!

Ingrédients pour 4 personnes :

  • 1 kg de jarret de bœuf
  • 3 oignons
  • 600 g de tomates fraîches
  • 5 gousses d’ail
  • 1 bouquet de persil
  • 1 bouquet de coriandre
  • 1 feuille de laurier
  • Sel
  • Piment rouge en poudre

Préparation :

  1. Émincer la viande.
  2. Chauffer une casserole et y faire revenir la viande dans un peu de corps gras. Ajouter le laurier, couvrir et laisser mijoter à feu doux environ 30 minutes. Si nécessaire, rajouter un peu d’eau.
  3. Une fois la viande cuite, mettre de côté son jus.
  4. Ajouter à la préparation les oignons finement coupés et l’ail pressé. Garder en réserve quelques lamelles d’oignons pour la décoration du plat.
  5. Râper les tomates par dessus.
  6. Napper la viande avec le jus mis de côté.
  7. Ajouter du sel, le persil, la coriandre effeuillés et le piment selon votre convenance.
  8. Laisser mijoter 30 minutes à feu doux.
  9. Le plat est prêt à être servi. Vous pouvez le décorer avec les oignons en réserve et quelques feuilles de coriandre.

En Géorgie, nous dégustons ce plat avec des tranches de pain blanc.

L’Ostri est prête ! Bon appétit !

Kristine Kostava

Membre de la rédaction vaudoise de Voix d’Exils

 




Ghormeh Sabzi

Ghormeh Sabzi. Ce plat a été préparé par Zahra Ahmadiyan / Voix d’Exils..

Découvrez « le ragoût doré » d’Iran

Le Ghormeh Sabzi, connu également sous le nom de « ragoût doré », est un plat national d’Iran. Notre rédactrice Zahra Ahmadiyan vous propose aujourd’hui de découvrir ce délicieux met qu’elle sait préparer à merveille.

Ingrédients:

  • 250 g de coriandre ;
  • 250 g de persil ;
  • 500 g de poireaux ;
  • Un peu de fenugrec ou une cuillère à soupe de fenugrec séché ;
  • Quelques feuilles de menthe ;
  • 200 g de haricots rouges ;
  • 500 g de viande de veau ;
  • 4 à 5 citrons noirs séchés d’Iran (loumi) trempés préalablement dans de l’eau (environ une heure) ;
  • 4 à 5 tasses d’eau ;
  • 1/3 d’une tasse d’huile d’olive ;
  • 3 cuillères à soupe d’huile végétale ;
  • 1 oignon et 3 cuillères à soupe d’oignons frits ;
  • Sel, curcuma, poivre noir.

Préparation:

  • Commencez par désosser la viande et hacher l’oignon ;
  • Faites frire l’oignon et la viande dans l’huile végétale ;
  • Ajoutez le curcuma à la préparation et mélangez le tout avec de l’eau ;
  • Ajoutez les haricots rouges dans la casserole ;
  • Laissez mijoter jusqu’à ce que la viande soit mi-cuite ;
  • Hachez finement les poireaux, le persil, la coriandre, le fenugrec et les quelques feuilles de menthe ;
  • Ajoutez l’ensemble à la préparation avec 1/3 de tasse d’huile d’olive ;
  • Ajoutez ensuite le sel, le curcuma et le poivre noir selon votre goût ;
  • Une fois que la préparation a bouilli, ajoutez les citrons noirs dans lesquels vous aurez fait quelques petits trous à l’aide d’un couteau (n’oubliez pas que si votre citron est amer, tous vos légumes le deviendront. Si vous n’êtes pas certain de la qualité de votre citron omanais, veuillez utiliser de la poudre de citron) ;
  • Vous pouvez finir par ajouter 1/3 de tasse d’eau à la préparation ;
  • Le plat est généralement servi avec du riz.

Petite astuce pour la préparation des haricots:  

Les haricots peuvent provoquer une sensation de ballonnement. Pour éviter ce problème, vous pouvez faire tremper les haricots dans de l’eau la veille de la préparation. Veillez à changer l’eau plusieurs fois.

Zahra Ahmadiyan

Membre de la rédaction vaudoise de Voix d’Exils




Le poisson braisé

Le poisson braisé. Source: pixabay.com.

Un plat camerounais gourmand à partager sans modération


En Afrique centrale et surtout au Cameroun – pays traversé par de grandes difficultés économiques et frappé par le manque de travail la censure et l’insécurité – boire de la bière et manger de la viande (Suya) ou du poisson braisé donne du baume au cœur.

Ingrédients

• 2 gros maquereaux frais (ou autre poisson)
• 1 gousse d’ail
• 10 cm de gingembre frais
• 3 gros oignons
• Du persil (facultatif)
• Deux grands poivrons
• 2 cubes de bouillon de poisson
• 5 piments rouges ou jaunes
• 3 feuilles de basilic
• 15 cm de céleri en branche
• 2 cuillères à soupe d’huile d’olive
• 2 carottes râpées
• 1 oignon
• 2 noix de muscade
• Sel à volonté
• 10 g de poivre blanc

Préparation

• Bien nettoyer le poisson
• Entailler la peau du poisson à différents endroits
• Ajouter un peu de sel et laisser mariner
• Écraser ou mixer l’oignon, l’ail, le gingembre, le persil, les poivrons, le basilic, le céleri et les noix de muscade afin d’obtenir une pâte bien molle
• Ajouter à la pâte les cubes bouillon ainsi que 2 cuillères à soupe d’huile d’olive et le sel
• Répartir la pâte sur les maquereaux ainsi que dans les entrailles et laisser mariner pendant environ 30 minutes
• Ajouter les piments en fonction votre envie
• Réserver le reste pour la sauce
• Faire un feu avec du charbon ou du bois
• Griller le poisson à feu doux
• Frire le reste de la pâte et des piments séparément
• Servir les maquereaux avec des frites plantain, du pain, des bâtons de manioc ou des pommes de terre
• Servir le poisson et les accompagnements chauds
• Ajouter les carottes ainsi que les oignons et partager le repas avec vos voisins

Voici une vidéo pour bien suivre les étapes de la recette ici

Recette de Ampsy
Membre de la rédaction neuchâteloise de Voix d’Exils

 

 

 

 




Aider les réfugiés bloqués dans les camps grecs

 

Bo (casquette sur la tête) et son équipe animent un atelier de cuisine dans le camp de réfugiés de Serrès.

Une idée généreuse qui se termine en queue de poisson

Début 2020, une poignée d’amis alémaniques aménagent et chargent un camion avant de mettre le cap sur la Grèce. Leur objectif est triple : venir en aide aux réfugiés coincés dans des camps insalubres en montant à leur intention une cuisine collective, leur projeter des films et coproduire avec eux un documentaire sur la base des documents conservés dans leurs téléphones portables. Mais sur place, rien ne se passera comme prévu. Les chicanes administratives grecques, les répressions policières et finalement l’épidémie de Covid-19 ne laisseront d’autre choix à l’équipe de bénévoles, pourtant ultra motivés, que de rentrer à la maison.

L’idée va germer en été 2019. Bo, trentenaire zurichois, rencontre de jeunes Allemands qui ont décidé de se rendre au camp de requérants d’asile situé sur l’île grecque de Lesbos. Dans leurs bagages, ils vont emporter un cinéma mobile, le « Rolling Cinema », destiné à distraire les migrants, ces hommes, femmes et enfants qui vivent dans un environnement précaire, pauvre en stimulations culturelles et sociales. En collaborant avec les organisations locales, ils vont également projeter sous une grande tente des films tous publics sans paroles et sans limite d’âge. En parallèle, s’inspirant des actions menées à travers le monde par l’association « Cuisine sans frontières », ils veulent aussi mettre sur pied une cuisine destinée aux réfugiés où tous pourront mettre la main à la pâte pour préparer des repas et les partager en toute convivialité.

Venir en aide à des migrants en détresse, en nourrissant les corps et les esprits… Les promesses du projet allemand séduisent Bo. Il connaît déjà la misère des camps grecs pour y avoir travaillé comme bénévole en 2016. Il va y retourner. Aidé par des amis, il organise une grande fête dans un squat zurichois et récolte les fonds nécessaires pour financer l’opération.

Le 2 février, un camion chargé d’une cuisine, de matériel de projection et d’habits de seconde main part de Zurich à destination de la Grèce. Débordant d’énergie et d’enthousiasme, les trois garçons et les deux filles qui ont pris la route vont très vite déchanter comme le raconte Bo.

Bo et ses 4 acolytes déchargent les habits et les souliers destinés aux migrants.

« J’étais en Grèce en 2016. A l’époque, le problème des réfugiés – qui vivaient déjà une situation très difficile -, était largement médiatisé. Les humanitaires avaient une plus grande marge de manœuvre qu’aujourd’hui. Mon projet, en 2020, était d’emmener avec moi d’autres personnes pour voir ce qui avait changé et rapporter des informations sur ce qui se passait dans les camps de réfugiés. Outre le cinéma et la cuisine, on pensait coproduire un documentaire avec les réfugiés en se basant sur ce qu’ils avaient eux-mêmes filmé et conservé dans leurs téléphones portables.

En chemin vers la Grèce, on a appris que certaines ONG avaient loué des terrains sur l’île de Lesbos. Elles acceptaient de nous accueillir tout en nous avertissant que la situation avait beaucoup changé depuis 2016 et qu’on aurait des ennuis avec les autorités. On a alors réalisé que ce serait très difficile de réaliser notre projet car le gouvernement grec mettait beaucoup de pression sur les bénévoles qui venaient pour aider les réfugiés. Malgré ces informations inquiétantes, on a décidé de continuer la route. On verrait une fois sur place qu’elle est notre marge de manœuvre, quitte à réduire la voilure si nécessaire.

Comme première étape, on a choisi la ville de Ioannina, proche de la frontière albanaise, qui accueille un camp de réfugiés. Une ONG allemande avait loué un terrain juste à côté et construit une cuisine qui leur était destinée. Elle leur proposait aussi des ateliers de création sur bois et sur métal.

Après avoir pris connaissance du travail effectué par les Allemands à Ioannina, on est partis à Thessalonique, ville portuaire du nord-est de la Grèce. On y a passé une semaine à chercher un moyen pour se rendre sur les îles. Toutes les personnes consultées nous ont déconseillé de le faire et nous ont prédit beaucoup d’ennuis. On est alors partis plus au nord, à destination de la ville de Serrès dans laquelle il y avait un camp de 1200 réfugiés Yézidis. On a pu y installer une cuisine et un cinéma, mais pour le reste, on n’avait pas la liberté d’aller où on voulait. On devait toujours s’en remettre aux ONG locales pour bénéficier de leur protection. Notre séjour à Serrès a marqué un tournant dans notre périple. En peu de temps, la situation s’est tendue : la Turquie menaçait d’ouvrir ses frontières pour laisser passer les migrants, la pression exercée par la police grecque sur les camps s’est encore accentuée et des groupes de droite ont exigé le refoulement des réfugiés. Et par là-dessus est venu s’ajouter la pandémie du coronavirus !

L’équipe de bénévoles alémaniques est chaleureusement accueillie par les requérants du camp de Serrès.

Avec un des gars du groupe, on a décidé de nous rendre sur l’île de Samos, proche des côtes turques, qui abrite un camp de 8000 réfugiés. Pour éviter d’être repérés par la police, on a laissé le camion à Serrès et loué une voiture de tourisme en emportant juste nos affaires personnelles. Dans les îles, si tu arrives avec de la nourriture ou des vêtements ou quelque chose susceptible d’être transmis aux réfugiés, tu es considéré comme une ONG et tu dois payer des taxes. Si tu n’es pas une ONG enregistrée, et que tu te fais attraper, ils prennent ta voiture et tu paies une grosse somme pour pouvoir la récupérer.

Notre plan était d’aller Samos pour discuter avec les réfugiés et rapporter des informations sur la situation dans l’île. Mais cela s’est avéré très difficile parce que la situation était catastrophique. Dès notre arrivée, la police a fouillé la voiture et nous a demandé de nous déshabiller pour voir si on cachait quelque chose… On a été relâchés, mais pendant tout notre séjour sur l’île, on s’est sentis surveillés.

La situation à Samos était complètement folle. Il faut savoir que l’île compte 7000 habitants et 8000 réfugiés parqués dans un camp prévu pour 680 personnes ! On a constaté qu’un quart des maisons étaient vides, qu’il n’y avait plus de touristes et que l’économie était en panne. Les réfugiés n’avaient pour ainsi dire aucun accès aux soins médicaux, n’avaient pas d’eau courante, pas de lumière ni d’électricité. Le camp et ses alentours étaient boueux et beaucoup de réfugiés étaient malades. Certains étaient là depuis longtemps, comme cet Afghan qui y vivotait depuis deux ans et demi sans aucun revenu, dans une petite tente au-dessus du camp. Les réfugiés n’avaient d’autre solution que d’abattre de vieux oliviers pour avoir du combustible. La situation était bien pire qu’en 2016, lors de mon premier passage. Il y avait notamment moins de bénévoles parce que leur action était mal vue par les autorités.

Une autre chose qui m’a frappé lors de ce second voyage, c’est l’état d’esprit des résidents de l’île. En 2016, on avait reçu beaucoup d’aide et de soutien de la part des Grecs, mais cette fois-ci, ça n’a pas été le cas, il y avait trop de tensions. En plus de la surpopulation dans le camp de réfugiés, un autre thème faisait polémique. Le précédent gouvernement avait prévu de construire un nouveau camp à côté de l’actuel, mais le nouveau gouvernement avait décidé de construire une prison destinée à enfermer les migrants arrivants avant de les expulser. Pour ce faire, il avait réquisitionné des terres appartenant à des fermiers locaux. Résultats, les résidents de l’île étaient vent debout contre ce projet. A gauche comme à droite, quel que soit leur bord politique, tous voulaient empêcher la construction de cette prison. Des policiers envoyés par l’État étaient venus mater cette révolte. Ils avaient matraqué les contestataires et écrasé les véhicules de ceux qui bloquaient le chemin censé mener à la future prison. La situation était chaotique dans tout Samos.

A Samos, un grand bidonville de tentes en plastique héberge les migrants.

Les violences se sont enchaînées, celles du gouvernement grec contre les résidents de l’île, les violences des résidents de l’île contre les réfugiés et les ONG, ainsi que les violences des réfugiés entre eux, en raison de la forte pression due au manque de nourriture, d’eau, de soins, d’espace… Le 29 février, la Turquie a mis ses menaces à exécution et a ouvert ses frontières vers l’Europe. Des milliers de réfugiés sont alors entrés en Grèce.

Dans cette période de folie, le Covid-19 est devenu une pandémie, ce qui a encore aggravé la situation. Or, dans tous les camps que nous avons visités, les réfugiés n’avaient aucun moyen de se protéger du coronavirus. A Samos, par exemple, il y avait seulement un médecin pour 8000 personnes et ce médecin ne faisait rien d’autre que de séparer les malades en disant : « Oui, vous pouvez aller à l’hôpital… » ou : « Non, vous ne pouvez pas aller à l’hôpital… » Il y avait bien des pharmacies où il était possible d’obtenir des médicaments même sans ordonnance, mais à quoi bon puisque les réfugiés n’avaient pas d’argent ?

Entre les pressions policières, le chaos local et l’arrivée du Covid-19, on n’avait plus d’autre choix que de rentrer à la maison.

Dans toute cette folie et cette noirceur, je garde le souvenir lumineux de cet Afghan qui avait construit une école sur une colline de Samos pour enseigner l’anglais aux réfugiés enfermés dans le camp. Il organisait des cours et avait demandé à d’autres réfugiés qui parlaient aussi l’anglais de lui donner un coup de main. Cette volonté d’aller de l’avant malgré une situation catastrophique m’a beaucoup impressionné. »

Propos recueillis par Damon

Membre de la rédaction vaudoise de Voix d’Exils

 




L’intégration culinaire

Muriel Di Terlizzi, responsable de La Cantine assise à gauche, avec l’équipe du projet. Photo: Eddietaz / Voix d’Exils

Vaud – A la découverte du monde professionnel avec « La Cantine »

La Cantine, un projet de formation organisé par l’association TAF, recrute des réfugiés qui acquièrent des compétences pour la cuisine et le service et les mettent en pratique. Une fois par semaine, ils proposent une « cuisine du monde » à leurs clients à Bussigny dans le district de l’Ouest lausannois.

L’association TAF (Textile-Adulte-Formation), créée en 2014 à Bussigny, une commune dans le district de l’Ouest lausannois, réunit des personnes de toutes origines pour favoriser leur intégration sociale et professionnelle et encourager l’interculturalité. Son premier projet commencé en 2014 – la boutique Taffetas – offre aux femmes migrantes une formation professionnelle connexe. Le deuxième projet de TAF commencé à l’automne 2017 – la Cantine – offre aux réfugiés une formation de cuisine et de service en salle. Muriel Di Terlizzi, la responsable de la Cantine, qui est aussi formatrice FLE (français langue étrangère) et membre du comité de l’association, m’a raconté les activités du projet.

La Cantine

En Suisse, les réfugiés éprouvent souvent de nombreux problèmes qui rendent parfois difficile leur intégration dans le monde du travail tels que : les difficultés linguistiques, les exigences du système professionnel, et les ennuis personnels. La Cantine aborde ces problèmes dans le cadre de la restauration : à la cuisine ou au service. Les participants du projet peuvent pratiquer le français tout en faisant une première expérience professionnelle en Suisse. Ils peuvent développer et partager leurs compétences. Les participants peuvent finalement retrouver confiance en eux-mêmes. Chaque semaine, ils cuisinent un plat national différent, une « cuisine du monde », et le servent aux clients dans la salle. « Les clients sont contents de cette expérience, d’être servis par les migrants, des plats étrangers qu’on ne peut pas trouver ailleurs », explique Mme Di Terlizzi.

La Cantine a la capacité de recruter cinq personnes qui participent régulièrement aux activités pendant au moins six mois. Les objectifs ne se limitent pas à la participation au projet. La Cantine « accompagne et soutient ces réfugiés dans la recherche d’un emploi. Elle crée des liens entre les réfugiés, les habitants et les professionnels » ajoute la responsable du projet. A la fin, les participants reçoivent une attestation et ont aussi la possibilité de suivre le cours de cuisine organisé par la Bourse à Travail, une association basée à Lausanne qui propose des formations aux migrants en recherche d’emploi.

Pour financer le projet, l’association TAF s’appuie sur le bénévolat et l’autofinancement : le revenu sur les repas servis sert uniquement à couvrir les besoins du projet. La commune de Bussigny met quant à elle gratuitement à disposition la salle polyvalente « Au Raisin ».

Cuisine du monde : quand et où ?

C’est un jour par semaine, chaque mercredi vers midi, que la Cantine propose une cuisine du monde au prix d’environ 10 francs dans la salle Au Raisin – rue de Lausanne 3, 1030 Bussigny.

MHER
Membre de la rédaction vaudoise de Voix d’Exils

Infos :

La Cantine

Rue de Lausanne 3
Bussigny, Vaud, Switzerland
Tél. 077 473 73 64
FB : https://fr-fr.facebook.com/lacantinebussigny/

Photoreportage: les plats mijotent à la Cantine

Bussigny (VD). Photo: Eddietaz / Voix d’Exils

 

Bussigny (VD). Photo: Eddietaz / Voix d’Exils

 

Bussigny (VD). Photo: Eddietaz / Voix d’Exils

 

Bussigny (VD). Photo: Eddietaz / Voix d’Exils