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Mieux communiquer, pour mieux accompagner

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De gauche à droite: Lorenza Pastore, cheffe du projet FALC, et Arzu Ayvazova, membre du groupe contrôle et qualité du projet FALC.
Photo: Voix d’Exils.

L’EVAM améliore sa communication avec ses bénéficiaires en adoptant le français facile à lire et à comprendre.

Pour une institution qui œuvre dans le champ du social, réussir à se faire comprendre par ses bénéficiaires permet de mieux les accompagner. Or, pour bien se faire comprendre, il est nécessaire d’adapter son langage au public auquel on s’adresse, a fortiori lorsque ce public ne maîtrise pas bien la langue de l’émetteur. Pour cette raison, de plus en plus d’institutions sociales romandes adoptent le français facile à lire et à comprendre (le FALC), une méthode qui a pour but de simplifier le langage afin de rendre l’information plus accessible. C’est notamment le cas de l’Établissement vaudois d’accueil des migrants – l’EVAM – qui utilise progressivement le FALC dans toutes ses communications avec ses bénéficiaires depuis 2020. Ainsi, l’EVAM a rédigé en FALC les pages de son nouveau site internet qui s’adressent spécifiquement à son public.

Afin de mieux comprendre les enjeux de la mise en œuvre du FALC à l’EVAM, Voix d’Exils a donné la parole à deux personnes qui sont au cœur de ce projet : Lorenza Pastore, responsable du pôle Administration du Domaine formation et mesures d’intégration de l’EVAM, cheffe du projet FALC et Arzu Ayvazova, originaire d’Azerbaïdjan, bénéficiaire de l’EVAM et membre du groupe contrôle qualité du projet FALC.

Découvrez notre interview ci-dessous:

La rédaction vaudoise de Voix d’Exils



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