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guerre civile

 
 
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Vieillesse et exil : le dangereux cumul des déracinements

L’Entraide Protestante Suisse (l’EPER) organise une visite au zoo Servion avec un groupe de réfugiés Syriens de plus de 55 ans.


Des artistes mettent à nu les crimes abominables perpétrés au Sri Lanka

Trois jeunes artistes ont pris l’initiative d’aborder des sujets tabous dont aucun Sri-Lankais n’ose parler à haute voix et qui sont tus par la communauté internationale à l’occasion d’une exposition de dessins. Cette exposition – offrant une vision crue sur la situation politique qui sévit actuellement au Sri Lanka – s’est tenue du samedi 26 au mardi 29 octobre au centre socioculturel Pôle Sud.


Pour le renforcement des droits humains au Sri Lanka et la protection des requérants en Suisse

Amnesty International, en collaboration avec la Société pour les peuples menacés et l’Organisation suisse d’aide aux réfugiés (OSAR), a lancé la campagne «Protection, vérité et justice pour la population sri-lankaise». Une pétition et un documentaire entendent sensibiliser la population suisse à la situation délicate dans laquelle se trouvent les réfugiés tamouls.


« La situation est devenue ingérable dans les camps kenyans de Dadaab»

Situé à la frontière entre le Kenya et la Somalie, Dadaab est le plus grand complexe de camps de réfugiés du monde. Peuplé de plus de 400’000 réfugiés somaliens – alors qu’il était initialement prévu pour 90’000 personnes – sa construction date du début des années 90 et est la conséquence de l’éclatement de l’Etat somalien et du début de la guerre civile. En automne 2011, Médecin Sans Frontière (MSF) a organisé un projet de reportage sous la forme d’une bande dessinée intitulée « Out of Somalia » qui retrace le quotidien deLire la suite


« Créer un business était la seule solution pour nous »

Fuyant la guerre civile au Sri Lanka qui opposait le gouvernement Sri lankais aux Tigres tamouls, les premiers Tamouls ont trouvé refuge en Suisse dans les années quatre-vingt. A cette époque, la majorité des Tamouls travaillait dans des restaurants comme aides-cuisiniers et plongeurs. Avec le temps et grâce à leur travail acharné, certains ont réussi à devenir chef de cuisine ou propriétaire de restaurants et à servir leurs propres clientèles. D’autres ont ouvert des épiceries. Les entreprises dirigées par des Tamouls se multiplient à partir des années 90 et occupentLire la suite


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