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« Harraga »

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Giulio Piscitelli ©

Giulio Piscitelli ©

Ou l’enfer des chemins de la migration

« Harraga » est un mot arabe (utilisé surtout en Algérie, en Tunisie et au Maroc) signifiant « ceux qui brûlent » ou, dans son contexte moderne, un migrant voyageant sans papiers qui « brûle les frontières ». Plus précisément, le terme se réfère aux réfugiés nord-africains qui ont été forcés de fuir leurs terres indigènes traversées par les guerres ou les famines.

« Harraga » est également le nom d’un nouveau livre du photojournaliste italien Giulio Piscitelli qui, de 2010 à 2015, a documenté la lutte pour la survie des réfugiés qui tentent de migrer d’Afrique en Europe. C’est un témoignage unique en images et en mots, de la période historique que nous vivons. Une archive visuelle qui laisse une marque indélébile dans l’esprit de tous ceux qui la voient.

Harraga

182 pages en anglais

Publié par : www.contrastobooks.com

au prix de 39 euros

 

H.Dono

Membre de la rédaction vaudoise de Voix d’Exils



Un commentaire a « Harraga »

  1. Arslan dit :

    Bjr
    Désolé, les Pays du Maghreb ne vivent pas les guerres et la famille comme vous dite dans votre article voyons:le Maroc fournit à l’Europe à travers le Rungis plateforme du sud Paris France en matière de produits agricole plus grande d’Europe des fruits et des légumes sans relâche, la Tunisie reçois des million de touristes par an, a de quoi les hébergés et les nourrir en cinq étoiles, enfin pour l’Algérie premier fournisseur de gaz à l’Europe se réjouit de sa rente pétrolière. Je crois qu’il faut bien scruter l’info avant de la rendre public.
    Ne mettez jamais tout vos œufs dans le même panier , et sachez aussi que, comparaison ne fait pas raison !
    Merci

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